Retrouvez les lettres de l'etilab, chaire de recherche et d'enseignement sur les ETI

Retrouvez l'actualité des ETI grâce aux lettres rédigées par l'etilab, chaire de recherche et d'enseignement fondée par Mines Paris - PSL, en partenariat avec le club ETI Ile de France et le METI, et dont Mazars est grand Mécène.
Ces lettres sont le fruit de recherches et d'analyses à propos des Entreprises de Tailles Intermédiaires et des sujets qui les préoccupent.

A propos de l'etilab :

Née de la rencontre sur le terrain entre les économistes et étudiants de l’Ecole des Mines et le club ETI Île-de-France, la Chaire etilab a pour ambition de proposer une recherche académique d’excellence sur les Entreprises de Taille Intermédiaire (ETI), portée par l’École des Mines de Paris en alliant enquête, théorie et données. L'etilab est un partenariat inédit entre monde académique, ETI, acteurs publics et mécènes privés.

Lettre n°1

Lancement de la Chaire etilab : Mines Paris – PSL se réjouit, grâce à un ensemble inédit de 10 partenaires, d’accueillir la première Chaire de Recherche et d’enseignement dédiée aux ETI.

Lettre n°2

Statistiques & analyses publiques : Pour sa deuxième lettre l’etilab fait l’état des lieux des statistiques et analyses publiques sur les ETI jusqu’à aujourd’hui. Vous trouverez tous ses constats et le détail de ses analyses dans cette lettre.

Lettre n°3

Profilage : Aussi surprenant que cela puisse paraître, définir ce qu’est une entreprise, et parmi les entreprises, lesquelles sont des ETI, constitue un travail statistique et conceptuel considérable. Si la France, en 2020, comptait 5 951 ETI constituées de 65 694 unités légales identifiées par un code siren, comment retrouver à partir de ces dernières des entités économiques cohérentes : les entreprises ? La réponse ci-dessous dans la lettre n°3 de l’etilab !

Lettre n°4

Des jeunes et des ETI : Cette lettre n°4 est l’occasion de revenir sur le rôle de la chaire comme plateforme entre les étudiants de Mines Paris et les ETI. A l’origine du lancement de l’etilab, la découverte des ETI par les étudiants de Mines Paris débutée en 2020 avec les élèves de l’option Economie Industrielle ne cesse de s’intensifier, que cela soit par la réalisation de stages au sein d’ETI ou par la recherche au sein de l’etilab. Comme le rappellent dans cette lettre n°4 les ambassadeurs ETI, ces entreprises sont des terrains parfaits pour faire éclore le potentiel des jeunes ; mais aussi celui de ces acteurs économiques d’une importance cruciale qui doivent bénéficier de ces talents.

Lettre n°5

Emploi, territoire et industrie : L’emploi en ETI sous toutes ses coutures, des cols bleus au cols blancs, des cols des Alpes à ceux des Pyrénées ! Saviez-vous par exemple que les ETI employaient une fois et demi plus d’ouvriers dans l’industrie que les grandes entreprises, et que les ETI avaient en moyenne des employés plus jeunes ?

Lettre n°6

Empreinte et géographie des ETI dans l’emploi d’Île-de-France : L’etilab est fier de publier sa Lettre n°6 portant sur l’empreinte et la géographie des ETI dans l’emploi d’Île-de-France.Cette lettre est la première d’une série de 3 consacrée à la région Île-de-France. Nous y montrons que :

  • Toutes les catégories d’entreprises (PME, ETI et GE) ont davantage d’employés en Île-de-France que dans toute autre région.
  • Tous les secteurs ont davantage d’employés en Île-de-France que dans toute autre région ; ce qui n’empêche pas une importante spécialisation de la région dans les services marchands.
  • La localisation de l’emploi en Île-de-France est très polarisée. La moitié se concentre dans deux départements (75 et 92), le reste est réparti en fiefs entre catégories d’entreprises.

Lettre n°7

Terres de sièges et de rayonnement : Cette lettre met en évidence un phénomène de concentration des sièges des ETI en Île-de-France et en présentes les principales conséquences. Plus particulièrement :

  • L’Île-de-France est une terre de sièges pour les ETI dont près de la moitié y a installé ses centres de décision. Paris et les Hauts-de-Seine concentrent à eux seuls 67 % des sièges implantés dans la région.
  • Cette particularité francilienne, qui s’explique par l’organisation centralisée du territoire, conduit à une composition particulière de l’emploi ETI en Île-de-France. Si le taux de cadres est de 17 % dans le reste de la France, il atteint 41 % en Île-de-France qui accueille 46 % des cadres travaillant en ETI. Ces cadres sont d’ailleurs mieux payés, leur salaire moyen y étant plus élevé de 22,8 % que sur le reste du territoire.
  • Toutefois, la centralisation des sièges ne remet pas en cause l’ancrage territorial des ETI : 80 % des ETI ayant leur siège en Île-de-France sont aussi présentes dans au moins une autre région.

Lettre n°8

Quotas carbone : Trajectoires et coûts pour les ETI. Dans cette lettre, l'etilab propose une estimation des dépenses en quotas carbone pour les ETI horizons 2030 et 2034. Les principaux résultats en quelques mots :

  • Depuis 2013, ETI et GE bénéficient de taux comparables d’allocations gratuites.
  • Entre 2013 et 2021, les ETI ont acquis autour de 20 % des quotas payants français.
  • Dans le scénario le plus pessimiste (faible réduction des émissions et prix du quota élevé), le coût carbone total des ETI estimé à 277 millions d’euros en 2021 pourrait atteindre 3 066 millions d’euros en 2034, soit 11 fois plus.