Les publications Agroalimentaire : la gestion des risques dans le secteur Agro français
Mazars vous propose de découvrir dans cette étude un panorama complet des risques rencontrés par les industriels de l'Agroalimentaire en France.
Les réponses de nos sondés en quelques chiffres…
- 92% ont une sensibilité élevée voire très élevée à la culture du risque. 74% souhaitent renforcer leur dispositif de contrôle interne et de maîtrise des risques à l’horizon de 3 ans.
- 57% considèrent les risques externes comme l’une des principales motivations pour la mise en place et le suivi d’un dispositif de gestion des risques. 45% estiment que les risques industriels, environnementaux et sanitaires sont une des raisons principales pour l’instauration d’une démarche de la gestion des risques.
- 50% jugent avoir une sensibilité très forte aux problématiques d’achats et d’approvisionnements de matières premières. Par ailleurs, 50% des interviewés sont particulièrement attentifs aux contraintes relatives au financement ou à la réglementation.
- 48% considèrent la gestion qualitative / quantitative des approvisionnements comme le risque principal des organisations dans les 3 prochaines années.
- 80% estiment avoir une sensibilité élevée voire très élevée aux risques de volatilité des prix des matières premières.
- 60% ont mesuré leur exposition financière au risque de prix sur les matières premières contre 56% en 2008.
- 55% considèrent le recours aux instruments financiers comme l’une des solutions les plus efficaces pour maîtriser la volatilité. Cependant, 60% de nos sondés considèrent sa mise en œuvre très complexe.
- 83% estiment que la crise financière a eu un impact modéré ou limité sur leur activité.
- 81% évaluent leur relation avec leur banque satisfaisante voire très satisfaisante.
- 29% considèrent que la gestion de leur BFR n’est pas satisfaisante.
- 74% jaugent leur capacité à se prémunir des risques juridiques plutôt satisfaisante voire très satisfaisante.
- 62% placent la traçabilité des produits et la sécurité alimentaire en tête de leurs préoccupations réglementaires devant les relations contractuelles avec les clients et fournisseurs (36%), la sécurité industrielle (30%) et le droit social (29%).
