Vivre et travailler en ville en 2020 : ce qu’attendent les Français de l’immobilier
Le 6 juillet 2020 |
Il est au cœur de notre quotidien et le sera tout au long de notre vie : l’immobilier. S’il occupe une telle place, c’est parce que le logement, le travail, les commerces et les loisirs (par le biais des infrastructures sportives, culturelles, hôtelières…) lui sont indissociables. D’autre part, l’immobilier permet à l’Etat d’exercer ses fonctions régaliennes afin que chaque individu puisse jouir de ses droits : se soigner, se projeter sereinement dans la vieillesse, accéder à l’éducation, aux services administratifs ou encore à la justice.
Il est au cœur de notre quotidien et le sera tout au long de notre vie : l’immobilier. S’il occupe une telle place, c’est parce que le logement, le travail, les commerces et les loisirs (par le biais des infrastructures sportives, culturelles, hôtelières…) lui sont indissociables. D’autre part, l’immobilier permet à l’Etat d’exercer ses fonctions régaliennes afin que chaque individu puisse jouir de ses droits : se soigner, se projeter sereinement dans la vieillesse, accéder à l’éducation, aux services administratifs ou encore à la justice.
Puissant vecteur de bien-être, ce secteur colossal et tentaculaire a le pouvoir de faire bouger les lignes. Les Français en sont même profondément convaincus, et à juste titre compte tenu du lien qu’il crée, de la place qu’il offre à la puissance intellectuelle commune ainsi qu’au rôle majeur qu’il joue dans l’amélioration de la qualité de vie. Cet impact positif avéré ne cesse d’ailleurs de se renforcer grâce aux nouveaux labels, réglementations, normes et initiatives en faveur de l’équilibre social, sociétal et environnemental. Trois combats chers aux Français… et à Mazars.
Car notre cabinet n’est pas un cabinet commun. Il est avant tout l’héritage de son fondateur, Robert Mazars : un entrepreneur engagé, davantage attaché à la valeur du travail qu’à la valorisation du capital. Et ce, au point d’avoir préféré transmettre gratuitement son entreprise à ses jeunes associés pour qu’elle continue d’agir au bénéfice de la société dans son ensemble, plutôt que de la céder. C’est précisément dans le respect de ces valeurs de transmission, de partage et de priorité donnée à l’intérêt général que se sont bâties notre histoire, notre raison d’être (« Mazars for Good ») et notre culture d’entreprise. Celle-ci rythme le quotidien des équipes Immobilier & BTP de Mazars, sincèrement animées par ces principes, investies et désireuses de contribuer à l’accompagnement des grands projets de société portés par le secteur immobilier.
Promoteurs, investisseurs, bailleurs sociaux, maires, directeurs immobiliers, DRH… Tous font face à un enjeu commun : améliorer la qualité de vie des Français à une époque où leurs attentes évoluent à grande vitesse, au gré des innovations, mais surtout dans un contexte social complexe où le pouvoir d’achat reste une problématique de taille. En tant qu’experts de l’immobilier et du chiffre, et afin d’apporter notre pierre à l’édifice dans cette transformation d’envergure, de long terme et d’intérêt public, nous avons souhaité mettre à la disposition de l’ensemble des acteurs de l’écosystème immobilier des données pertinentes, collectées directement auprès de la population urbaine et active.
D’où la réalisation de notre Baromètre « Immobilier & société : vivre et travailler en ville », dont trois chiffres ont tout particulièrement retenu notre attention. Premièrement, en plus de témoigner d’un réel intérêt pour l’immobilier, les Français, toutes générations confondues, sont particulièrement ouverts et enthousiastes face à l’émergence des nouvelles formes d’habitat. Pour preuve, 58% d’entre eux se déclarent prêts à tenter l’expérience de l’habitat collectif où certains espaces sont partagés. Deuxièmement, en dépit de la prise de conscience et des nets progrès du secteur en matière de développement durable, l’immobilier nuirait à l’environnement pour encore 30% des citadins : une idée reçue qui a la vie dure. Enfin, dans la mesure où ils ne constatent pas de changements immédiats à leur échelle locale, 78% des Français ne se sentent pas suffisamment écoutés, même lorsqu’ils sont consultés.
Alors comment les Français imaginent-ils la ville idéale de demain ? Quelle perception ont-ils des leviers de changement offerts par l’immobilier ? Qu’attendent les Français des acteurs du secteur pour améliorer leur qualité de vie ?
Découvrir le Baromètre « Immobilier & société : vivre et travailler en ville »
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